Je pisse du sable, je suis une plage à moi tout(e) seul(e) !
Le problème de calculs urinaires est parfois compliqué à gérer. Dans cet article je ne vais pas aborder les cas de coliques néphrétiques qui ont besoin d’une prise en charge médicale mais de problèmes de sable/petits calculs urinaires chroniques. Parfois le médecin n’a pas vraiment de solution et c’est à nous de chercher.
Il existe des tas de plantes qui aident dans ces cas là et, encore une fois, il s’agit d’effectuer une personnalisation.
D’une manière générale on s’aperçoit que cela se développe souvent sur un terrain d’alimentation pas assez fournie en légumes, gros fournisseurs de potassium alcalinisant (entre autres).
Pour aider à « alcaliniser » nous pouvons aussi utiliser des produits simples comme le bicarbonate de sodium ou les citrates de magnésium et potassium.
On peut démarrer avec de toutes petites doses. En général l’effet bénéfique peut être assez rapide.
Attention tout de même à ne pas abuser car les substances minérales sont souvent classées « froides » en médecine chinoise/ayurveda et peuvent affaiblir la digestion à terme (le système digestif aime plutôt la tiédeur).
Pause musicale du jour:
Le mec le plus bonnasse de l’univers, Sebastian Bach
Skid Row – Youth gone wild
Bisous le crüe !
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Je vous conseille à distance ou en séances à mon cabinet pour déterminer un programme idéal afin de ramener plus de joie et de bien être dans votre quotidien.
J’utilise les plantes, la diététique et les techniques manuelles en m’inspirant de la médecine chinoise et l’ayurveda.
Les conseils que je donne sur cette page sont dispensés avec humour et amour, mais n’oubliez pas que chaque personne est différente et nécessite donc des conseils personnalisés.
Le lecteur est invité à systématiquement consulter un médecin en cas de problème de santé et suivre ses recommandations dans tous les cas.
Les informations données ne constituent aucunement une recommandation médicale. La médecine chinoise et l’ayurveda sont légales à des fins de pratique culturelle mais ne sont pas des pratiques reconnues en France et ne sont pas réglementées par le code de la santé publique.