Quel article à la noix ! (propriétés selon la médecine chinoise et l’ayurveda)

Quel article à la noix !

Tous les aliments peuvent avoir des actions médicinales en médecine chinoise et en ayurveda. Bien entendu cela dépendra de la qualité, de la quantité, de la régularité et de la façon de les préparer ou consommer. Un seul aliment a peu de chance de régler un problème de fond si ce n’est pas orienté par un bilan général d’action et un ensemble de mesures adaptées.

LA NOIX

En médecine chinoise:

Doux, tiède tropisme reins, poumon

– Tonifie le Qi des reins et renforce les lombes (Renforce les fonctions sexuelles et urinaires)

– Tiédit le poumon et les reins, et calme la toux et l’asthme (Antiasthmatique, antitussif)

– Humidifie les intestins et débloque les selles (laxatif)

– Tonifie le cerveau et soutient l’intelligence (Stimulant cérébral)

En Ayurveda:

Chaud apaise vata, augmente kapha et pitta

Favorise la nutrition de la moelle osseuse, du système nerveux. Léger effet fortifiant sur le système reproducteur et le cerveau.

Laxatif.

Alliée dans le traitement des pertes séminales et de l’impuissance.

Sources:

« Ces aliments qui nous soignent » – Josette chapelet, Philippe Sionneau

« Traité de diététique ayurvédique » – Atreya Smith

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Je vous conseille à distance ou en séances à mon cabinet pour déterminer un programme idéal afin de ramener plus de joie et de bien être dans votre quotidien.

J’utilise les plantes, la diététique et les techniques manuelles en m’inspirant de la médecine chinoise et l’ayurveda.

Les conseils que je donne sur cette page sont dispensés avec humour et amour, mais n’oubliez pas que chaque personne est différente et nécessite donc des conseils personnalisés.

Le lecteur est invité à systématiquement consulter un médecin en cas de problème de santé et suivre ses recommandations dans tous les cas.

Les informations données ne constituent aucunement une recommandation médicale. La médecine chinoise et l’ayurveda sont légales à des fins de pratique culturelle mais ne sont pas des pratiques reconnues en France et ne sont pas réglementées par le code de la santé publique.

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